L’historique se fait une place au côté des modernes grâce au VHRS dont l’engouement ne cesse de progresser car pour les VHC, la recette a du mal à prendre avec un maigre plateau !

Six engagés en VHC, c’était mieux qu’en 2014, mais un forfait était à déplorer, donc ils sont partis à cinq comme l’année dernière. Par contre, la fiabilité a fait défaut, car Gérard Ferré était contraint à l’abandon dès les premiers hectomètres de l’ES1 alors que Yannick Richard rendait son carnet à l’issue de la première boucle. Vainqueur sortant, Marc Lemoine hypothéquait ses chances dès le départ alors que Samuel Ménard échouait dans un fossé de l’ES3. Il s’en sortait grâce à une aide extérieure, l’excluant d’office du classement général. Pour sa première venue dans la Sarthe, Richard Guibert parvenait à contenir le retour de Marc Lemoine pour s’imposer avec moins de deux secondes d’avance !
Avec 23 partants, le plateau de VHRS grossis d’année en année et la diversité de voitures est tel que l’on ne s’ennuie pas sur le bord des routes à les voir passer. La moyenne intermédiaire avait attiré le plus grand nombre, mais la régularité de chacun a distillé un bonne dose de suspens tant les écarts sont restés faibles et c’est de seulement 0,2s que Dominique Perriat s’impose à Jérôme Busquet alors que Thomas Bouvet ne concède que 1,6s ! Leader en moyenne haute, Jean-Jacques Bossay échoue d’un souffle au pied du podium poursuivi par Marc Esnault, lauréat en moyenne basse. Seule équipage féminin au départ, Marie-Claude Siret et Mégane Gagneux se retrouvent septième de la moyenne intermédiaire.

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